Les villes
Une Toulousaine d'Alep
Vivre dans une ville depuis 18 ans, la voir évoluer et changer petit-à-petit, voir, dans ses rues et leurs métamorphoses, le temps qui est passé, les magasins qui ont changé, les voitures qui y disparaissent petit-à-petit donnant lieu aux pas des piétons qui les remplissent vite..., et un soir, tomber sur des photos anciennes de la ville - dans l'expo photos Doisneau et Dieuzaide - et sentir une émotion particulière, difficile à comprendre ! Elle est sans doute le fil temporel qui s'étale derrière nous et nous raconte, indirectement, notre propre histoire avec une ville... Lorsque nous y sommes arrivés jeunes pour certains, ou plus vieux pour d'autres... Toulouse a été la ville-accueil et sans doute refuge après Alep de laquelle me parvient toujours autant, et malgré tout : l'odeur de sa savonnette, ses épices, et les très "joyeuses" pistaches rouges que je dévorais délicieusement...
Entre Alep et Toulouse, il y a un pont... sans doute celui de cet être que je suis et qui arpente amoureusement les villes, leurs rues, et tout autre lieu, essayant d'oublier les frontières et rêvant d'une humanité sans frontières, car entre Toulouse et Alep, il y a l'amour au fond de moi et rien d'autre...
Vivre dans une ville depuis 18 ans, la voir évoluer et changer petit-à-petit, voir, dans ses rues et leurs métamorphoses, le temps qui est passé, les magasins qui ont changé, les voitures qui y disparaissent petit-à-petit donnant lieu aux pas des piétons qui les remplissent vite..., et un soir, tomber sur des photos anciennes de la ville - dans l'expo photos Doisneau et Dieuzaide - et sentir une émotion particulière, difficile à comprendre ! Elle est sans doute le fil temporel qui s'étale derrière nous et nous raconte, indirectement, notre propre histoire avec une ville... Lorsque nous y sommes arrivés jeunes pour certains, ou plus vieux pour d'autres... Toulouse a été la ville-accueil et sans doute refuge après Alep de laquelle me parvient toujours autant, et malgré tout : l'odeur de sa savonnette, ses épices, et les très "joyeuses" pistaches rouges que je dévorais délicieusement...
Entre Alep et Toulouse, il y a un pont... sans doute celui de cet être que je suis et qui arpente amoureusement les villes, leurs rues, et tout autre lieu, essayant d'oublier les frontières et rêvant d'une humanité sans frontières, car entre Toulouse et Alep, il y a l'amour au fond de moi et rien d'autre...
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